Droit de réponse et rectification
Les élus du conseil municipal de Gruissan, qui sont visés dans l’article, souhaitent rétablir quelques vérités.
Dans l’Indépendant du 21 juin dernier, Monsieur Pierre Carbonel évoquait, en conclusion de l’article « Une réunion sous tension pour l’association La Sagne », que le jugement de la cour d’appel de Toulouse devait être prononcé prochainement.
Ce que M. Carbonel oublie volontairement de préciser, c’est que la Cour s’est réunie le 1er juin, soit 15 jours avant la réunion de l’association, et que le délibéré a été rendu, en concluant au rejet (encore) des recours portés contre l’écoquartier.
Quatre procès, quatre défaites, et maintenant 3.000 euros à payer à la commune, selon le tribunal.
Il faut bien que cela s’arrête…
Par ailleurs, l’association se félicite de revendiquer 140 adhérents. Un peu moins de la moitié des 400 personnes qui se sont rassemblées sous une pluie battante, le 13 mai dernier, pour marcher en faveur de l’écoquartier.
La majorité silencieuse qui ne fait ni procès ni article, mais qui a cruellement besoin de logement.